© Est proident aliquip sit. Sunt fugiat et commodo nostrud fugiat deserunt 2012
Dossier
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« L’étranger » de Camus, 2000, première création de la compagnie.
« Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas… » Meursault se
remémore, rejoue, revit son existence à partir du moment de la mort de sa mère. Pour
l’accompagner dans ce voyage dans le temps et les autres : quatre chaises et un carré
dessiné par du sable.
« Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas… » Meursault se
remémore, rejoue, revit son existence à partir du moment de la mort de sa mère. Pour
l’accompagner dans ce voyage dans le temps et les autres : quatre chaises et un carré
dessiné par du sable.
« Andromaque à une voix », Racine, 2004.
Interpréter seul une tragédie !… Est-ce un pari, une gageure, une folie ? Tout simplement, une
envie folle ! Folle comme le choix de faire notre métier d’artiste et d’aller au bout de ce qu’il
nous offre ! Le désir de vivre et donner vie à ces quatre héros sublimes et dérisoires, partager
leurs contradictions, leurs douleurs, leurs bonheurs fulgurants…
envie folle ! Folle comme le choix de faire notre métier d’artiste et d’aller au bout de ce qu’il
nous offre ! Le désir de vivre et donner vie à ces quatre héros sublimes et dérisoires, partager
leurs contradictions, leurs douleurs, leurs bonheurs fulgurants…
« Papiers d’Arménie » ou la forêt sous la mer, de J.J. Varoujean, 2006.
Vanté comme le poète national de son pays ; Minasco recherche un maillon occulté de son
identité… Obsédé par cette inconnue autobiographique, M. remet en question son œuvre, son
identité… Dès lors, il devient gênant pour la machine étatique… Une descente aux enfers… Un
texte qui joue de l’absence et du non-dit, de notre doute face à une réalité odieuse qui tait son
nom…
identité… Obsédé par cette inconnue autobiographique, M. remet en question son œuvre, son
identité… Dès lors, il devient gênant pour la machine étatique… Une descente aux enfers… Un
texte qui joue de l’absence et du non-dit, de notre doute face à une réalité odieuse qui tait son
nom…
« Andromaque », Racine, 2008.
Cette deuxième visite à l’Andromaque de Racine s’appuie sur l’envie de faire partager aux
jeunes générations - et celles moins jeunes mais tout autant fâchées avec la tragédie
classique - le plaisir qu’elle nous procure, à travers ses personnages à fleur de peau, cette
mécanique si parfaitement huilée et cette langue incomparable…
Cette deuxième visite à l’Andromaque de Racine s’appuie sur l’envie de faire partager aux
jeunes générations - et celles moins jeunes mais tout autant fâchées avec la tragédie
classique - le plaisir qu’elle nous procure, à travers ses personnages à fleur de peau, cette
mécanique si parfaitement huilée et cette langue incomparable…
« Gérard Philipe, le temps d’un acteur », Camus, Corneille, Musset…, 2012
Ce temps suspendu, cette parenthèse où l’on devient un autre, où cet autre et soi-même se
confondent… Une ballade, une fugue douce-amère, sur le jeu de la vie et de la mort, de
l’amour de la vie et la vie de l’amour (comme antidote à la mort) que se joue ce
personnage/acteur, seul face à lui-même, écho de ces héros peu ordinaires…
confondent… Une ballade, une fugue douce-amère, sur le jeu de la vie et de la mort, de
l’amour de la vie et la vie de l’amour (comme antidote à la mort) que se joue ce
personnage/acteur, seul face à lui-même, écho de ces héros peu ordinaires…
« Ceux de 14 », Maurice Genevoix, 2011, en tournée...
« Le 16 février 1915, aux Eparges, dans la Meuse… » Un homme parle, d’autres l’écoutent…
Il dit et revit les obus, la bruine qui enveloppe et glace, la promiscuité des cadavres, l’ennui,
l’amitié, la camaraderie, l’exaltation, l’absurde… Sa parole est libre, seule la vérité compte,
revenu de chez les morts, il n’a plus peur de la vie…
Il dit et revit les obus, la bruine qui enveloppe et glace, la promiscuité des cadavres, l’ennui,
l’amitié, la camaraderie, l’exaltation, l’absurde… Sa parole est libre, seule la vérité compte,
revenu de chez les morts, il n’a plus peur de la vie…
« Babille », de Vincent Barraud
avec Servane Briot, Vincent Barraud et Antonio Estevens.
Mise en scène Vincent Barraud avec la complicité de Nathalie Izza.
Musique : Loup Barrow - Décor : Gil Mas - Lumières : Nicolas Barraud.
Créé à l’auditorium de l’Opéra de Massy en novembre 2016 :
Mise en scène Vincent Barraud avec la complicité de Nathalie Izza.
Musique : Loup Barrow - Décor : Gil Mas - Lumières : Nicolas Barraud.
Créé à l’auditorium de l’Opéra de Massy en novembre 2016 :
Dossier “Babille” :
FlyFlyer Babille :
Vidéo :
https://vimeo.com/188829839/06d7e8ff52
Un homme, surnommé « Babille », personnage en marge, hyperactif et
gouailleur, a fui la Ville en proie à des émeutes… Poussant un chariot
débordant d’essentiel et d’accessoire, il est projeté au milieu de nulle part avec
son trop plein… son Ange l'interpelle...
Surviendra de ce même nulle part, L’homme, ermite en rupture de société,
clochard céleste qui s'exprime avec les « Contemplations » de Victor Hugo…
La rencontre de ces différents protagonistes et les conséquences qui en
découleront...
gouailleur, a fui la Ville en proie à des émeutes… Poussant un chariot
débordant d’essentiel et d’accessoire, il est projeté au milieu de nulle part avec
son trop plein… son Ange l'interpelle...
Surviendra de ce même nulle part, L’homme, ermite en rupture de société,
clochard céleste qui s'exprime avec les « Contemplations » de Victor Hugo…
La rencontre de ces différents protagonistes et les conséquences qui en
découleront...
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Bastien et Bastienne de Mozart
Version française et mise en scène : Vincent Barraud
Avec l'Orchestre de Chambre de l'Opéra de Massy dirigé par Constantin Ruits
Bastien : Benoît Rameau - Bastienne : Jeanne Mendoche - Colas : Aurélien Gasse
Décor : Gil Mas - Lumière : Nicolas Baraud
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Opéra de Massy, vendredi 16 novembre 2018, 14h
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Théâtre de Yerres, jeudi 22 novembre 2018, 14h
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Théâtre de Longjumeau, vendredi 23 novembre 2018, 14h
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Théâtre de la Passerelle, Palaiseau, vendredi 29 novembre 2019
De Laurent Gaudé
Le colonel Barbaque, une passion africaine
Une pirogue glisse sur le fleuve Niger.
Dedans, un homme brûle de sa dernière fièvre.
Il a eu plusieurs vies. Par bribes, par retours en arrière, il nous raconte :
les tranchées, les tirailleurs sénégalais, l’impossible retour à la vie d’avant,
puis le départ à l’aventure en Afrique, le commerce, les trafics.
Enfin, le basculement dans la rébellion contre le colonisateur.
Un destin violent de début de siècle, cassé par la guerre,
un destin entre mythe et réalité comme Laurent Gaudé sait si bien les conter.
Avec l’Afrique pour partenaire, amante et terrain d’expérience,
avec la colonisation pour ennemie,
ce destin est celui de Quentin Ripoll alias le Colonel Barbaque.
Le colonel Barbaque est un des récits de Dans la nuit Mozambique (Acte sud)
